ALEPH

Les enfants ont des facilités d’apprentissage et il est parfois dommage de les sous-estimer et d’attendre un âge avancé pour leur inculquer certaines notions. Le faire plus tôt, bien sûr d’une manière adaptée aux enfants, permettrait de gagner quelques années.

Ainsi par exemple, un enfant peut comprendre et utiliser la notion de nombre négatif pour faire des calculs très tôt. Cependant, ceux-ci n’apparaissent que très tard dans le programme scolaire, puisqu’ils ne sont véritablement enseignés qu’en classe de 5^ème, alors que les enfants ont déjà entre douze et treize ans. Pourquoi attendre si longtemps ?

Certaines notions peuvent également être comprises tôt avec des exemples pratiques de la vie quotidienne : par exemple la notion de pH qui peut expliquer la couleur d’une piscine un peu trop verte, ou encore la notion de mondialisation peut être comprise avec des exemples comme la chaîne de restauration McDonald’s qui est présente partout sur la planète. Alors, pourquoi attendre si longtemps pour faire découvrir ces notions aux enfants ?

Ce principe est le principe de base de la méthode Aleph : ne pas attendre pour enseigner aux enfants des notions qu’ils sont capables de comprendre et d’utiliser.

Le deuxième principe de base de la méthode Aleph, qui est certainement le plus primordial, c’est de respecter l’âge de l’enfance.

En effet, le contenu du programme enseigné n’a aucun rapport avec la vie de l’enfant en dehors des études : voir des notions en avance sur son âge ne l’empêche pas de jouer et de s’amuser comme tout enfant, bien au contraire.

Même dans le temps des études, l’objectif est de stimuler et de motiver l’enfant pour qu’il apprenne tout en s’amusant et qu’il ne voit pas les études comme une corvée, mais comme un plaisir !

Aleph fait de ce principe une mission pour permettre à tous les enfants, issus de tout milieu, d’accéder au savoir avec envie et plaisir et de leur donner le goût des études et le sens de la curiosité.

Un des éléments remarquables dans le parcours d’Hugo, qui a eu son bac à 12 ans grâce à la méthode Aleph, c’est la complétude de ses connaissances malgré les 6 années en moins. En effet, aucune matière n’a été négligée : il a obtenu de bonnes notes tant des matières scientifiques que dans des matières littéraires.
Ceci a été démontré de plus par la poursuite de son parcours dans les études supérieures puisqu’il a été capable de mener à la fois des études scientifiques à l’Ecole Polytechnique de Lausanne option informatique, et des études littéraires en étudiant le droit à l’Université de La Sorbonne. Et il a réussi, puisqu’il a été admis en doctorat en informatique à Oxford et a réussi l’examen d’entrée à l’Ecole du Barreau de Paris.
Ce parcours est l’illustration du troisième principe de base de la méthode Aleph : ce n’est pas parce que l’on veut gagner des années que l’on doit négliger des matières. Il est important d’avoir des bases solides dans toutes les matières, aussi bien littéraires que scientifiques.