ALEPH
Et maintenant ?Tout ce qu’il reste à faire maintenant c’est de formaliser et de publier le programme complet exploité par Aleph, « FAHM3 », matière par matière, qui s’appuie les 3 principes de base de la méthode Aleph : ne pas sous-estimer les enfants, apprendre en jouant, et éviter les redondances tout en ne négligeant aucune matière.
Tout ceci est bonne voie, malgré le temps que cela demande. Mais avant du publier un programme il faut surtout préalablement le valider. Cette méthode a déjà été validée dans le cas d’Hugo qui a eu son bac à 12 ans en 2012, et même dans le cas de sa sœur Marion qui a poursuivi ses études supérieures avec lui et à qui elle a permis de mener de front deux cursus exigeants. Néanmoins, nous nous concentrons dans un premier temps sur les études avant le bac, et le fait que d’autres enfants réussissent l’exploit d’avoir leur bac en avance donnerait plus de légitimité à la méthode Aleph et permettrait de s’assurer que le programme est bien adapté à tous et de l’affiner.
Ainsi, Hugo et Marion n’ont pas chômé, et même si le temps manque entre la thèse à Oxford et les études de droit, ils suivent actuellement 5 jeunes volontaires pour les accompagner dans le parcours accéléré et leur permettre d’obtenir leur bac plus tôt. Elément notable: deux d’entre eux n’ont débuté le programme qu’à l’âge de 9 ans, vivent à l’étranger, et ne parlaient même pas le français couramment. S’ils parviennent à obtenir le bac français à 15 ans il s’agirait d’un véritable exploit qui donnerait à la méthode Aleph encore plus de légitimité dans sa capacité à permettre à tout enfant d’accéder au savoir.
Les 3 autres ont commencé le programme plus tôt, l’âge de 2 ans, et ont déjà emmagasiné beaucoup de connaissances puisque la plus grande par exemple, qui a 4 ans est déjà capable de lire, d’écrire, de réaliser des opérations avec des nombres négatifs, ou encore de résoudre des équations et d’expliquer ce qu’est une cellule ! Il est important de le préciser : tous ces enfants vivent par ailleurs une enfance normale avec leur famille, voyagent, prennent des vacances et du plaisir ! La seule différence est qu’ils étudient des notions en avance, tout en respectant leur rythme et leur enfance. L’anonymat sera d’ailleurs préservé pour respecter la vie privée de ses enfants et leur éviter toute pression.
Bien sûr Hugo et Marion ne sont pas seuls et le suivi des enfants est également effectués par leur oncle Adam Sbaï, docteur vétérinaire consultant en informatique, qui a largement contribué au parcours d’Hugo et qui continue aujourd’hui de contribuer activement à la validation et à la formalisation de la méthode malgré sa vie professionnelle chargée. Les tantes Florence et Myriam Sbaï n’ont bien sûr pas non plus rendu le tablier et ont également pu dégager du temps pour s’occuper aussi du parcours accéléré de ces enfants et du perfectionnement de la méthode entre leur vie professionnelle et leur vie de famille.
Nous ne manquerons pas de vous tenir informés des résultats, et nous prévoyons de publier nos programmes dès qu’ils auront été validés, restez connectés !