Histoire

L’origine de la méthode Aleph

Une méthode

La méthode Aleph puise son origine dans l’histoire du jeune Hugo Sbai, qui a obtenu son bac scientifique en 2012, alors qu’il n’avait que 12 ans.

Chose remarquable : Hugo a obtenu son bac avec mention très bien. Ceci dénote avec la plupart des enfants qui obtiennent leur bac jeunes, qui sont souvent considérés comme des enfants surdoués, excellant dans certaines matières en particulier, tandis qu’Hugo a eu de bonnes notes dans des matières scientifiques (SVT : 20, Maths : 19, Physique-Chimie : 17) que littéraires (Oral de Français : 20, Histoire-Géo : 14, Espagnol : 14).

Tout enfant aurait pu le faire

Et pour cause, deuxième chose remarquable : lorsqu’il décide finalement de parler 5 ans plus tard, Hugo est loin de l’idée que l’on aurait pu se faire de lui et des stéréotypes des enfants génies en avance sur leur âge : il ne prône pas être surdoué mais avoue en toute honnêteté que selon lui, il s’agit d’une question de méthode et que tout enfant aurait pu faire la même chose s’il avait bénéficié des mêmes conditions que lui.

Soutenu par sa famille

Il explique en effet que, dès son plus jeune âge, il a eu la chance d’être immédiatement pris au sérieux et soutenu par sa famille, en particulier ses tantes Florences et Meryem, qui lui permettent d’étudier des notions des classes supérieures alors qu’il continue d’aller à l’école dans les classes de son niveau.

Gagner des années

Cela lui permet de passer du CP au CE1 en 2007, puis de sauter le CM2 pour faire un an de collège en 6ème. Alors qu’il avait déjà assimilé tout le programme du collège, il passe donc ensuite directement en classe de seconde, après quoi il va en Terminale S et obtient son bac à l’âge de 12 ans. Un parcours singulier qui lui permet de gagner 6 années !

A l’origine de la méthode, une véritable famille d’intellectuels

Les tantes Meryem et Florence Sbaï

Les deux femmes à l’origine de la méthode ne sont pas n’importe qui ! Meryem Sbaï est en effet docteure en biologie diplômée de l’Université Pierre et Marie Curie où elle a obtenu son doctorat avec mention très honorable et félicitations du jury. Son domaine, la bactériologie. Florence Sbaï, elle, est également diplômée d’un doctorat. Eminente chercheuse dans le domaine de l’immunologie, elle est passée par les universités les plus prestigieuses à travers le monde : du Collège de France, à Brown, en passant par la Silicon Valley et par Oxford, elle a supervisé de nombreux chercheurs avant de piloter avec poigne des équipes d’ingénieurs au Royaume-Uni.Florence et Meryem ont aujourd’hui une vie bien remplie, entre la vie professionnelle, la vie de famille, sans oublier la méthode Aleph qu’elles continuent, malgré un emploi du temps chargé, de perfectionner jour après jour.

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L’oncle Adam Sbaï

Adam Sbaï, l’oncle d’Hugo, a également joué un rôle important dans son parcours et dans l’élaboration de la méthode Aleph. En effet, c’est ce docteur vétérinaire, consultant en informatique médicale, qui a donné à Hugo le goût du savoir en lui expliquant, quand il l’emmenait dans ses voyages, des notions avancées comme la notion de pH, ou encore de cellules, d’embryon, alors qu’il était encore petit. Il a ainsi attisé sa curiosité en lui inculquant des notions avancées tout en lui permettant de comprendre malgré son âge, et c’est là toute la philosophie d’Aleph : apprendre des notions plus tôt tout en s’amusant.Aujourd’hui entre son travail de consultant et ses voyages professionnels à travers l’Asie et l’Europe, Adam Sbai continue malgré tout de contribuer quotidiennement au projet Aleph qui lui tient particulièrement à cœur, en participant à la validation et au perfectionnement du programme FAHM3.

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Le père

L’idée d’Hugo d’aller plus vite et d’avoir un parcours accéléré, alors qu’il n’avait même pas 10 ans, n’est pas sortie de nulle part.En effet, Hugo avait eu l’occasion d’observer son père, qui a été une bonne source d’inspiration. Ce diplômé de MIAGE de l’Université de Nantes, aujourd’hui consultant en informatique et citoyen suisse, travaillait alors sur l’élaboration d’un programme permettant à des jeunes diplômés d’accélérer leur carrière dans le domaine de l’informatique en accédant directement à des postes d’experts, au lieu de commencer à des postes de débutants.Même s’il s’agit de deux domaines complètement différents, avec d’un côté la synthétisation d’une expertise professionnelle de plusieurs années et de l’autre la synthétisation d’un programme scolaire, le parallèle est saisissant : dans les deux cas il s’agit d’aller plus vite. C’est de là qu’est née l’idée de la méthode Aleph : Hugo voulait aller plus vite lui aussi !

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La grande sœur Marion

Marion, issue du prestigieux lycée Henri IV, a passé son bac en même temps que son frère Hugo en 2012 et ils ne se sont plus quittés depuis ! Le frère et la sœur fusionnels ont fait leurs études supérieures ensembles tout en gardant à l’esprit la méthode Aleph en essayant d’aller plus vite même dans le supérieur. Cela n’a pas été rendu possible par les universités mais cet obstacle les a motivé pour mener de front deux cursus complètement différents : le droit à l’Université de la Sorbonne et l’Ecole Polytechnique de Lausanne option informatique. Ce parcours n’a pas été de tout repos mais ils ont pu réussir grâce à cet état d’esprit : réussir à tirer l’essentiel de chaque cours, ne pas se sous-estimer. Aujourd’hui doctorants à l’Université d’Oxford et poursuivant des études pour devenir avocats, on peut dire que cela a fonctionné.

La grand-mère Rhita

La première personne qui a inculqué à Hugo et Marion le sens des études et de la rigueur dès son plus jeune âge, c’est leur grand-mère Rhita.Elle leur a enseigné la lecture, l’écriture, et le calcul, leur donnant ainsi des fondations solides. Institutrice de métier, cette femme qui a été directrice d’une école pour des enfants en bas-âge sait comment s’y prendre pour donner aux enfants le goût des études et les motiver. Ainsi, Hugo et Marion savaient déjà lire dès la moyenne section de maternelle, et tout cela dans la bonne humeur : comme le dit Rhita, il y a le temps des études et le temps des jeux. Entre le foot dans le jardin, le jardinage, et les bons petits plats de sa grand-mère, Hugo a débuté son parcours accéléré dans les meilleures conditions.

Le parcours d’Hugo et Marion

Le parcours accéléré d’Hugo avant le bac

12 mai 2000 : naissance à Orsay

2004-2009 : primaire à Palaiseau

Double niveau CP et CE1 à 7 ans

Début de l’accompagnement familial et de la méthode Aleph – Pas de CM2

2009 – 2010 : collège – 6e à Palaiseau

Sept 2010 : entrée au lycée Claude-Bernard (Paris 5e) à 10 ans

2010 – 2012 : seconde et terminale S (scientifique)

Juin 2012 : bac scientifique (S) Mention TB à 12 ans et 1 mois

Diplômes obtenus par Hugo

Baccalauréat scientifique (2012) – lycée Claude Bernard, Paris

Informatique >>

Bachelor eninformatique – EPFL (2015)

Master eninformatique – EPFL (2017)

Doctorat en informatique – Université de Lille (2018)

Droit >>

Licence de droit – La Sorbonne (2016)

Master 1 droit privé – La Sorbonne (2017)

Master 2 droit international – Université de Grenoble (2018)

Réussite à l’examen d’accès au centre régional de formation professionnelle d’avocats (CRFPA) – Institut d’Études Judiciaires Jean Domat (Paris 1) (2019)

Diplômes en cours de préparation Hugo >>

Doctorat en informatique – Oxford (admission à Oxford en 2018)

Diplômes obtenus par Marion

Baccalauréat scientifique (2012) – lycée Henri IV, Paris

Informatique >>

Bachelor en informatique – EPFL (2015)

Master eninformatique – EPFL (2017)

Droit >>

Licence de droit – La Sorbonne (2015)

Master 1 droit privé – La Sorbonne (2016)

Master 2 droit international – Université de Grenoble (2018)

Réussite à l’examen d’accès au centre régional de formation professionnelle d’avocats (CRFPA) – Institut d’Études Judiciaires Jean Domat (Paris 1)  (2018)

Diplômes en cours de préparation Marion >>

Doctorat en informatique – Oxford (admission à Oxford en 2018)